jeudi 1 novembre 2012

I See Why She's Smiling...

Les dettes des pays fragiles de la zone euro ont légèrement profité jeudi du regain d'appétit des investisseurs pour les actifs risqués après des indicateurs de bonne facture en Chine et aux Etats-Unis, mais la tendance reste fragile vu la dégradation de la situation en Grèce.

Vers 18H00 (17H00 GMT), le rendement de l'obligation espagnole à 10 ans (qui évolue en sens inverse du prix) reculait à 5,591% contre 5,616% mercredi à la clôture, sur le marché secondaire, là où s'échangent les titres déjà émis. Le taux italien de même échéance s'inscrivait à 4,930% contre 4,960%.

"Le marché obligataire est resté encore très calme en ce jour férié en France", commente René Defossez, stratégiste obligataire chez Natixis.

Mais, "on note une légère détente du côté des dettes jugées les moins sûres de la zone euro car plusieurs statistiques qui vont dans le sens d'une amélioration de l'économie mondiale ont renforcé l'appétit des opérateurs pour le risque", ajoute-t-il.

La production manufacturière en Chine est repartie à la hausse en octobre après deux mois de recul. Outre-Atlantique, les embauches se sont accélérées dans le secteur privé, les dépenses de construction ont rebondi, et le moral des ménages est à son niveau le plus élevé de l'année.

La tendance reste très fragile car "la situation de la Grèce recommence sérieusement à nous inquiéter", relève M. Defossez. 

Le pays, qui risque d'être en faillite à la mi-novembre si la troïka (UE, FMI et BCE) ne débloque pas une nouvelle tranche d'aide, a annoncé mercredi un nouveau tour de vis budgétaire, avec une série de mesures de 9,4 milliards d'euros, pour tenter de satisfaire ses bailleurs de fonds.

Mais Athènes n'a pas encore obtenu d'eux un délai de deux ans pour réaliser son assainissement budgétaire et la contestation sociale ne cesse d'augmenter.

"Il faut que ses partenaires européens cèdent en acceptant une nouvelle restructuration de la dette du pays et en lui donnant beaucoup plus de temps pour assainir ses finances publiques. Sinon, nous allons droit dans le mur", s'inquiète M. Defossez.

Selon une source gouvernementale allemande, plusieurs questions restent à régler avant que la troïka puisse conclure un accord sur le versement de la nouvelle tranche.

En attendant, "la situation économique du pays est pire que les pires prévisions du Fonds monétaire international", relève le stratégiste.

Athènes enregistrera en 2013 un déficit budgétaire, une récession et une dette plus lourds que ce qui était prévu il y a encore un mois. Le produit intérieur brut devrait ainsi chuter de 4,5% l'an prochain, contre une contraction de 3,8% prévue par le gouvernement le 1er octobre.

Signe de ce regain de tensions, les rendements grecs à 10 ans repartaient nettement à la hausse à 18,165% contre 17,767% la veille.

De son côté, le taux allemand à 10 ans reculait à 1,455% contre 1,462%, tout comme le rendement français de même échéance à 2,227% contre 2,243%.

Hors zone euro, le taux britannique s'inscrivait à 1,455% contre 1,462%.

Aux Etats-Unis, le rendement à 10 ans montait à 1,716% contre 1,690% mercredi, tout comme celui à 30 ans à 2,897% contre 2,858%. Le taux à 3 mois était à 0,09% contre 0,10%.

Sur le marché interbancaire, l'Euribor à trois mois est resté stable à 0,197%, tout comme le Libor libellé en dollars à 0,313%.

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Les dettes des pays fragiles de la zone euro ont légèrement profité jeudi du regain d'appétit des investisseurs pour les actifs risqués après des indicateurs de bonne facture en Chine et aux Etats-Unis, mais la tendance reste fragile vu la dégradation de la situation en Grèce.

Vers 18H00 (17H00 GMT), le rendement de l'obligation espagnole à 10 ans (qui évolue en sens inverse du prix) reculait à 5,591% contre 5,616% mercredi à la clôture, sur le marché secondaire, là où s'échangent les titres déjà émis. Le taux italien de même échéance s'inscrivait à 4,930% contre 4,960%.

"Le marché obligataire est resté encore très calme en ce jour férié en France", commente René Defossez, stratégiste obligataire chez Natixis.

Mais, "on note une légère détente du côté des dettes jugées les moins sûres de la zone euro car plusieurs statistiques qui vont dans le sens d'une amélioration de l'économie mondiale ont renforcé l'appétit des opérateurs pour le risque", ajoute-t-il.

La production manufacturière en Chine est repartie à la hausse en octobre après deux mois de recul. Outre-Atlantique, les embauches se sont accélérées dans le secteur privé, les dépenses de construction ont rebondi, et le moral des ménages est à son niveau le plus élevé de l'année.

La tendance reste très fragile car "la situation de la Grèce recommence sérieusement à nous inquiéter", relève M. Defossez. 

Le pays, qui risque d'être en faillite à la mi-novembre si la troïka (UE, FMI et BCE) ne débloque pas une nouvelle tranche d'aide, a annoncé mercredi un nouveau tour de vis budgétaire, avec une série de mesures de 9,4 milliards d'euros, pour tenter de satisfaire ses bailleurs de fonds.

Mais Athènes n'a pas encore obtenu d'eux un délai de deux ans pour réaliser son assainissement budgétaire et la contestation sociale ne cesse d'augmenter.

"Il faut que ses partenaires européens cèdent en acceptant une nouvelle restructuration de la dette du pays et en lui donnant beaucoup plus de temps pour assainir ses finances publiques. Sinon, nous allons droit dans le mur", s'inquiète M. Defossez.

Selon une source gouvernementale allemande, plusieurs questions restent à régler avant que la troïka puisse conclure un accord sur le versement de la nouvelle tranche.

En attendant, "la situation économique du pays est pire que les pires prévisions du Fonds monétaire international", relève le stratégiste.

Athènes enregistrera en 2013 un déficit budgétaire, une récession et une dette plus lourds que ce qui était prévu il y a encore un mois. Le produit intérieur brut devrait ainsi chuter de 4,5% l'an prochain, contre une contraction de 3,8% prévue par le gouvernement le 1er octobre.

Signe de ce regain de tensions, les rendements grecs à 10 ans repartaient nettement à la hausse à 18,165% contre 17,767% la veille.

De son côté, le taux allemand à 10 ans reculait à 1,455% contre 1,462%, tout comme le rendement français de même échéance à 2,227% contre 2,243%.

Hors zone euro, le taux britannique s'inscrivait à 1,455% contre 1,462%.

Aux Etats-Unis, le rendement à 10 ans montait à 1,716% contre 1,690% mercredi, tout comme celui à 30 ans à 2,897% contre 2,858%. Le taux à 3 mois était à 0,09% contre 0,10%.

Sur le marché interbancaire, l'Euribor à trois mois est resté stable à 0,197%, tout comme le Libor libellé en dollars à 0,313%.

No Autocorrect Here - But This Guys Deserves A F*ckin Medal!

Les dettes des pays fragiles de la zone euro ont légèrement profité jeudi du regain d'appétit des investisseurs pour les actifs risqués après des indicateurs de bonne facture en Chine et aux Etats-Unis, mais la tendance reste fragile vu la dégradation de la situation en Grèce.

Vers 18H00 (17H00 GMT), le rendement de l'obligation espagnole à 10 ans (qui évolue en sens inverse du prix) reculait à 5,591% contre 5,616% mercredi à la clôture, sur le marché secondaire, là où s'échangent les titres déjà émis. Le taux italien de même échéance s'inscrivait à 4,930% contre 4,960%.

"Le marché obligataire est resté encore très calme en ce jour férié en France", commente René Defossez, stratégiste obligataire chez Natixis.

Mais, "on note une légère détente du côté des dettes jugées les moins sûres de la zone euro car plusieurs statistiques qui vont dans le sens d'une amélioration de l'économie mondiale ont renforcé l'appétit des opérateurs pour le risque", ajoute-t-il.

La production manufacturière en Chine est repartie à la hausse en octobre après deux mois de recul. Outre-Atlantique, les embauches se sont accélérées dans le secteur privé, les dépenses de construction ont rebondi, et le moral des ménages est à son niveau le plus élevé de l'année.

La tendance reste très fragile car "la situation de la Grèce recommence sérieusement à nous inquiéter", relève M. Defossez. 

Le pays, qui risque d'être en faillite à la mi-novembre si la troïka (UE, FMI et BCE) ne débloque pas une nouvelle tranche d'aide, a annoncé mercredi un nouveau tour de vis budgétaire, avec une série de mesures de 9,4 milliards d'euros, pour tenter de satisfaire ses bailleurs de fonds.

Mais Athènes n'a pas encore obtenu d'eux un délai de deux ans pour réaliser son assainissement budgétaire et la contestation sociale ne cesse d'augmenter.

"Il faut que ses partenaires européens cèdent en acceptant une nouvelle restructuration de la dette du pays et en lui donnant beaucoup plus de temps pour assainir ses finances publiques. Sinon, nous allons droit dans le mur", s'inquiète M. Defossez.

Selon une source gouvernementale allemande, plusieurs questions restent à régler avant que la troïka puisse conclure un accord sur le versement de la nouvelle tranche.

En attendant, "la situation économique du pays est pire que les pires prévisions du Fonds monétaire international", relève le stratégiste.

Athènes enregistrera en 2013 un déficit budgétaire, une récession et une dette plus lourds que ce qui était prévu il y a encore un mois. Le produit intérieur brut devrait ainsi chuter de 4,5% l'an prochain, contre une contraction de 3,8% prévue par le gouvernement le 1er octobre.

Signe de ce regain de tensions, les rendements grecs à 10 ans repartaient nettement à la hausse à 18,165% contre 17,767% la veille.

De son côté, le taux allemand à 10 ans reculait à 1,455% contre 1,462%, tout comme le rendement français de même échéance à 2,227% contre 2,243%.

Hors zone euro, le taux britannique s'inscrivait à 1,455% contre 1,462%.

Aux Etats-Unis, le rendement à 10 ans montait à 1,716% contre 1,690% mercredi, tout comme celui à 30 ans à 2,897% contre 2,858%. Le taux à 3 mois était à 0,09% contre 0,10%.

Sur le marché interbancaire, l'Euribor à trois mois est resté stable à 0,197%, tout comme le Libor libellé en dollars à 0,313%.

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Vers 18H00 (17H00 GMT), le rendement de l'obligation espagnole à 10 ans (qui évolue en sens inverse du prix) reculait à 5,591% contre 5,616% mercredi à la clôture, sur le marché secondaire, là où s'échangent les titres déjà émis. Le taux italien de même échéance s'inscrivait à 4,930% contre 4,960%.

"Le marché obligataire est resté encore très calme en ce jour férié en France", commente René Defossez, stratégiste obligataire chez Natixis.

Mais, "on note une légère détente du côté des dettes jugées les moins sûres de la zone euro car plusieurs statistiques qui vont dans le sens d'une amélioration de l'économie mondiale ont renforcé l'appétit des opérateurs pour le risque", ajoute-t-il.

La production manufacturière en Chine est repartie à la hausse en octobre après deux mois de recul. Outre-Atlantique, les embauches se sont accélérées dans le secteur privé, les dépenses de construction ont rebondi, et le moral des ménages est à son niveau le plus élevé de l'année.

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Mais Athènes n'a pas encore obtenu d'eux un délai de deux ans pour réaliser son assainissement budgétaire et la contestation sociale ne cesse d'augmenter.

"Il faut que ses partenaires européens cèdent en acceptant une nouvelle restructuration de la dette du pays et en lui donnant beaucoup plus de temps pour assainir ses finances publiques. Sinon, nous allons droit dans le mur", s'inquiète M. Defossez.

Selon une source gouvernementale allemande, plusieurs questions restent à régler avant que la troïka puisse conclure un accord sur le versement de la nouvelle tranche.

En attendant, "la situation économique du pays est pire que les pires prévisions du Fonds monétaire international", relève le stratégiste.

Athènes enregistrera en 2013 un déficit budgétaire, une récession et une dette plus lourds que ce qui était prévu il y a encore un mois. Le produit intérieur brut devrait ainsi chuter de 4,5% l'an prochain, contre une contraction de 3,8% prévue par le gouvernement le 1er octobre.

Signe de ce regain de tensions, les rendements grecs à 10 ans repartaient nettement à la hausse à 18,165% contre 17,767% la veille.

De son côté, le taux allemand à 10 ans reculait à 1,455% contre 1,462%, tout comme le rendement français de même échéance à 2,227% contre 2,243%.

Hors zone euro, le taux britannique s'inscrivait à 1,455% contre 1,462%.

Aux Etats-Unis, le rendement à 10 ans montait à 1,716% contre 1,690% mercredi, tout comme celui à 30 ans à 2,897% contre 2,858%. Le taux à 3 mois était à 0,09% contre 0,10%.

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La tendance reste très fragile car "la situation de la Grèce recommence sérieusement à nous inquiéter", relève M. Defossez. 

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Mais Athènes n'a pas encore obtenu d'eux un délai de deux ans pour réaliser son assainissement budgétaire et la contestation sociale ne cesse d'augmenter.

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Selon une source gouvernementale allemande, plusieurs questions restent à régler avant que la troïka puisse conclure un accord sur le versement de la nouvelle tranche.

En attendant, "la situation économique du pays est pire que les pires prévisions du Fonds monétaire international", relève le stratégiste.

Athènes enregistrera en 2013 un déficit budgétaire, une récession et une dette plus lourds que ce qui était prévu il y a encore un mois. Le produit intérieur brut devrait ainsi chuter de 4,5% l'an prochain, contre une contraction de 3,8% prévue par le gouvernement le 1er octobre.

Signe de ce regain de tensions, les rendements grecs à 10 ans repartaient nettement à la hausse à 18,165% contre 17,767% la veille.

De son côté, le taux allemand à 10 ans reculait à 1,455% contre 1,462%, tout comme le rendement français de même échéance à 2,227% contre 2,243%.

Hors zone euro, le taux britannique s'inscrivait à 1,455% contre 1,462%.

Aux Etats-Unis, le rendement à 10 ans montait à 1,716% contre 1,690% mercredi, tout comme celui à 30 ans à 2,897% contre 2,858%. Le taux à 3 mois était à 0,09% contre 0,10%.

Sur le marché interbancaire, l'Euribor à trois mois est resté stable à 0,197%, tout comme le Libor libellé en dollars à 0,313%.